Besoin d'une aide.

La pluie battait à torent. Elle était trempée, gelée et serrait sa cape autour d'elle. Elle saignait légèrement et avait quelques bleus. Elle était essouflée. Elle leva la tête n'ayant pas la force de soulever son long chapeau. Un village, vite... Elle ne savait plus très bien où elle se trouvait, tant de choses s'étaient passées. Etranges souvent...
Elle vit une fleur de Flamina trainer par terre. "Suis-je en territoire elfe ?" pensa-t-elle. Une étincelle d'espoir s'alluma en elle. Elle ramassa délicatement la fleur et repris sa marche.
La pluie lui faisait mal, elle avait l'impression qu'on lui lançait du gravier au visage.
Elle essaya de hater le pas, mais elle continuait de ralentir.
Elle voyait partout des ombres, elle avait toujours l'impression d'être suivie. Ces temps si elle avait toujours peur. Les derniers événements l'avaient traumatisée.
Elle tomba à genoux, épuisée.
"Un jus de carysses me fairait le plus grand bien" se dit-elle avec ironie.
Elle essaya de se relever puis se laissa tomber face contre terre. Elle n'avait pas peur qu'on l'attaque, personne ne sort par un temps pareil. Elle ne se souvenait d'ailleur pas pourquoi elle était ici. Le désespoir l'envahit peu à peu. Elle voudrait une présence, la solitude est une contraignante amie parfois.

Où es-tu ?

Elle voulait que son ami soit à côté d'elle, l'emmène, la rassure. L'angoisse devenait plus forte. Pourquoi passerait-il ici ? C'était un miracle qu'il l'ai sauvée la dernière fois.

Fffff...

Elle n'avait plus suffisament de force pour émettre le mondre son. Elle ferma doucement les yeux. La fatigue était en train de la terrasser. Elle serra plus fort la fleur. Elle était persuadée qu'il devait y avoir au moins un village non loin. Mais où ? Elle avait si froid. Depuis quand avit-on des temps d'hiver au printemp ? Le vent sifflait à ses longues oreilles. Elle claquait presque des dents.
Elle crue voir comme un tas d'herbes elle s'y traine et s'y glissa, ça lui tiendrait un peu plus chaud. Elle voulait tellement que quelqu'n vienne l'aider, mais en même temps, elle espairait que personne ne viendrait pour ne pas la voir dans cet état. Elle sourit devant ces contradictions.

(HRP : je ne sais pas du tout où ça va nous mener, j'ai eu une inspiration comme ça, fallait que j'écrive.)

"Par Sorad, qu'est-ce qu'il pleut! ' se disait l'elfe.

Sa cape heureusement le protégeait de la nuit parfaitement. L'elfe recherchais des plantes pour préparer des potions. Il errait de ci, de là. Mais il n'avait pas vraiment l t^te à cela. En effet, il pensait à une personne. Il remarqua sous un arbre, un endroit endroit. Il prit des brindilles sèches au sol et alluma le feu avec un sort adéquat. Très peu de fumé en sortait. Flirdem était épuisé. L'elfe s'appuya contre le ronc de l'arbre. En face, les branchages laissent un petit trou où son regard se portait. Il commenca à canter une chanson qui louait Sorad. De son sac, le Namida sortit un boule de pain qu'il avait acheter avant son départ. La vue de toute cette eau lui avait aussi donné soif.

ses yeux se portèrent sur une forme qui marchait avec peine. A sa démarche, malgré les difficultés à marcher, il la reconnue imméditement. Idril! Sans attendre, il se leva d'un bond, remit cape et chapeau et se lanca sur ses traces. Il l'appela. Aucune réaction. Idril. Elle semblait avoir levé les yeux. Idril crai -t il une troisième. Cette fois-ci, elle s'arrêta. Son visage sembla s'illuminé en entendant son prénom.

"Viens Idril! Suis moi! J'ai installé un camp à l'abri à quelque pas. Viens !"
Il l'attendis quelque instant et l'aida à marcher jsuq'au camp. Elle semblait frigorifié. arrivé au camp de fortune, il lui dit d'enfiler la veste de son kimono et lui donna du jus de carise qu'il venait de prépraer et aussi de quoi se restaurer.