Concours de RP namida

CONCOURS Namida.
Postez vos propositions sur ce post....

Voial comme je l'ai dit, j'aimerais rendre le Bg des namidas plus adultes!
Alors a vos plumes!!!!!
Le but de ce concours:
creez une legende autour d'une arme legendaire des namidas...la fleche d'or.
Je vous explique juste quelques lignes:
C'est une petites fleches en or qui tourne et s'arréte pour désigner ceux "qui cahe un secret", elle fut utlisé pour démasquer les drow et les "vrais" namidas.
a vous de troyvez la legende qui va avec. (et n'oubliez pas de faire mousser votre roi dans cette legende )

A vos crayons!

Recompense:
soit un petit avatar Sd animé type a votre nom ajouter aux smiley et donc a mettre dans votre signature..sinon des stells.

On doit l'envoyer par mp ou le mettre sur ce forum.

Reponse:
Postez cela ici même.
Une fois qu'il y aura plusieurs textes je créérai un sondage pour que les namida vote.

Incantation difficile ou oeil de faucon agile. Beaucoup de peuple connaissent les namidas pour savoir utiliser l'art de la magie où celui d'archer. Mais personne ne connaissent l'arme ultime des namidas. Voici la légende de la fleche d'or. Elle a servi mainte et mainte fois a denoncer ceux qui cachait un secret qu'il soit bien ou mal. Cette fleche est devenu une légende car c'est sorad elle même qui l'a trouver un jour pendant qu'elle combattait les 3 autre dieux. Personne n'arrivait a se mettre d'accord et des conflit se dressait devant nous. Sorad désemparée par tant de rage et de haine décida de s'ecarter de ce débat sans fin.
En rentrant chez elle, la deesse vit quelque chose qui la suivait, elle ne réussit pas a distinguer la forme de cette derniere.
Elle était fatigué du trajet et se reposa pres d'un arbre. tout un coup au bout de quelques temps un leur doré illumina les lieux. Au milieu de cette leur un fleche d'or qui scintilait. Sorad regarda la lueur. La fleche tomba entre ses mains . Et une voix gronda au loin.
"utilise cette fleche pour faire la justice, elle seule connais les secret qu'on les personnes a l'interieur. sert t'en pour ouvrir la voix a ton peuple.
Sorad comtempla le fleche. Et d'après la légende elle pu reussir a trouver le secret que cachait les autres dieux et pu arriver a l'expansion de son peuple dans les terres divines. Depuis que nous avons une monarchie chez les namida. La fleche d'or est confié au roi, lui seul sait comment s'en servir. Que personne ne se fasse pointer par la fleche d'or sous peine d'être considéré comme un traitre ou un cachotier.

Il y a un longtemps, un jeune seigneur se maria a une des plus belle namidas de toute la Tédéhessie. Le jeune seigneur avait les yeux bleus et les chevaux d’un blond d’or. La jeune namidas avait des yeux vert pétillants et les cheveux blonds comme ceux de sont époux. Ils s’aimaient beaucoup et il menait une vie fort agréable jusqu’au jour ou le seigneur mourut a l’âge de 46ans. Tout de suite après, son épouse se tua. Après se terrible drame, un serviteur du seigneur eu la tâche de descendre toute les affaires du seigneur et de sa femme dans le hall du château. Mais le serviteur était curieux et trouva une flèche d’or. Il la déroba et continua son travail. Le jour d’après le namidas fut mort, il était pourtant en pleine santé. On trouva la flèche d’or est les plus vieux et les plus sages des namidas l’examina. Deux ans plus tard, on compris que la flèche se pointait sur tout les traîtres et pendant les jours qui suivirent la personne mourrait car elle cachait un terrible secret. La légende fût ainsi et personne ne pouvait la changer.

Il y a beaucoup de légende qui circule sur la flèche d'or mais cette histoire en est la vrai, l'unique. La flèche d'or est une arme crée de la main de Sorad. C'est une arme que le dieu créateur avait offert il y a de cela plusieur milliers d'année aux namida ou plutôt à notre roi Ghan D'ilf. On dit même qu'une bête légendaire nommée Fëanáro ("feu" en elfique) qui semait la terreur dans toutes les terres d'Ertuën fut terrassée après un long combat contre le roi namida. Mais cette bête invincible ne pouvait mourir avec des sorts ou des épées, elle n'était pas morte ainsi. Elle a été supprimmée par cette flèche d'or aussi communément appellée Elenwë ("étoile" en elfique). C'est alors que cette flèche qui n'avait alors aucune signification pour les namidas devenu un vrai simbole. Si cette flèche avait tué ce monstre, ce n'était pas un simple hasard, c'était la magie de Sorad qui l'avait tué, la magie de Sorad qui étais et est toujours canalisé dans cette flèche. Elle est maintenant enfermée dans une sphère de cristal, cacher sous le siège du trône. On dit que lorsque la flèche qui tournoit éternellement dans cette sphère s'arrête en un point précis, alors ce sont les yeux de Sorad qui désignent un traitre ou une personne qui peut nuire aux namidas.

(j'ai peut-être une dérivé... Cette histoire serra peut-être modifiée dans les temps avenir, je préviendrais^^ )

De nombreuses légendes gravitent autour du peuple Namida, ces Elfes si évolués par rapport aux nombreuses communautés qui peuplent les bois et vivent en complète autarcie...
Des mythes qui deviennent des histoires contées, de générations en générations, à tous les petits Elfes, le soir autour du feu.

Ainsi, moi Livedell, du temps où je vivais encore en ma lointaine contrée et où les Namidas étaient pour moi un peuple faisant figure de modèle et d'avenir, j'ai écouté avec passion bon nombre de ces récits.
Le vieux Aldéren y mettait tellement de cœur... C'est sûrement pour cela que, même encore aujourd'hui, je me souviens de tout.

Parmi toutes les légendes qu'il me fut donné d'entendre, il en est une qui m'a spécialement marquée et à laquelle je pense souvent... Certainement car ma vie fut dévouée, comme celle de son protagoniste, à la magie...
Je n'ai pas le talent de conteur que l'ancêtre de mon village possédait, néanmoins je vais faire de mon mieux pour vous la narrer...

Un jour de plein soleil, sur les rives de L'Elmasa, un jeune Elfe prénommé Arvendell ratissait les herbes en quêtes de graines de flaminas. Il mettait du cœur à l'ouvrage et ses yeux exercés n'avaient aucun mal à repérer les petits grains bruns qui jonchaient la terre.

Ce jeune Namida avait perdu ses parents prématurément et avait été recueilli par les moines du monastère de Gahl Drasyl. En ces lieux il était devenu adulte.
Un Elfe plutôt frêle, voire malingre, à la carnation d'une pâleur extrême et à la silhouette longue et anguleuse.
Ce physique peu viril ne lui permit pas de devenir soldat archer, aussi les moines le formèrent à la guérison, à l'herboristerie et aux sciences magiques.

Levant les yeux au ciel, Arvendell constata que le soleil était à son zénith. L'heure du repas devait approcher, aussi il décida de ratisser encore une bande de terrain avant de rentrer. Il eut raison de continuer...
En effet, en se penchant sur le monticule de feuilles et de tourbe qu'il venait de créer, il récupéra de nombreux grains, mais aussi une flèche. Un petit trait doré, de belle facture et certainement forgé dans un métal de grande valeur...

Un sourire illumina le visage d'Arvendell tandis qu'il ramassait ses affaires et se mettait en chemin.
Il avait glissé la flèche dans sa poche et ne cessa de la caresser de ses doigts maigres durant le chemin.
Que devait-il en faire? La donner aux frères? La garder pour lui... Après tout il l'avait trouvée et personne n'en saurait rien s'il décidait de la conserver...
Il atteignit bientôt le portail de la ville, et sa tête fourmillait toujours de questionnements...

Alors qu'il passait près de la vieille Falraëhn, la mendiante des escaliers de Gahl, il n'entendit même pas ses railleries et ses vils commentaires.
Tous les jours, elle lui proférait des insultes, ou des paroles destinées à le blesser, et chaque jour il se retenait pour ne pas lui faire de mal.
Mais ce jour, il était tellement absorbé par sa trouvaille qu'il ne prêta même pas attention aux vociférations de cette vieille folle...

"Tes parents... ils sont morts mais ce n'est pas vrai... Non non non, non jeune homme ils sont morts mais pas vraiment tu comprends!!! Vas les retrouver, ils t'attendent, ils t'espèrent... Oui ils sont morts, mais ils sont revenus, vas!!!"

La vieille était particulièrement loquace ce jour... et aussi particulièrement désorientée, Arvendell avait vu ses parents mourir de ses yeux...

Alors, une chose étrange survint...
La fléchette dorée que le jeune homme faisait tournoyer entre ses doigts s'anima d'une énergie surnaturelle. Elle transperça la poche de sa culotte et vint se planter devant la mendiante qui détala à toute allure en hurlant!!
Le jeune homme n'en croyait pas ses yeux... Il mit un temps avant de se pencher vers l'objet qu'il arracha du sol et glissa dans son autre poche.
Quelle était cette sorcellerie? Cette vieille menteuse avait-elle déchaîné les mauvais esprits?

Peu importe, les cloches sonnaient et il était grand temps de rentrer.
Arvendell courut jusqu'au monastère, entra en trombes et déposa le sac de grains dans la serre du "frère Pépin", comme il le surnommait. Il fila ensuite se débarbouiller et passa à table.
Le repas fut silencieux et rapide car frugal, comme tous les jours, aussi il ne lui fut pas difficile de conserver le secret de sa formidable trouvaille.

En quittant la table, le jeune orphelin regagna ses quartiers et, saisissant son trésor, il décida d'aller dans la salle des manuscrits afin de peut-être découvrir la nature de cet étrange objet.
Les ouvrages poussiéreux abondaient mais Arvendell, dont la tâche était aussi de ranger les livres et de cirer le parquet de la bibliothèque, sut de suite où chercher.
Il feuilleta des heures durant de nombreux volumes, et enfin, alors qu'il réprimait un bâillement, une page attira son attention.

Il lut un paragraphe en particulier...

"... La guerre faisait rage près de l'Elmasa, en cette Sainte année de l'an VI du règne Soradii. Les guerriers Drows assénaient de nombreuses pertes au Saint peuple Namida, le sang coulait et bien des têtes tombèrent.
Le Saint Seigneur de Gahl n'eut d'autre choix que d'envoyer ses troupes d'élite, et avec elles son grand champion, l'archer Perenthir dit "le juste doré". Les combats redoublèrent d'intensité, et les traits d'or du grand archer firent tomber les armées noires.

Mais, en Diccultia, après un regain de vitalité des troupes Namidas, un horrible malheur frappa le bien.
Perenthir fut encerclé et fait prisonnier par les adversaires. Ceux-ci, d'esprit perfide et malsain, le cagoulèrent et s'en amusèrent comme d'un pantin. Il le placèrent devant ses propres lignes, et lui ordonnèrent de tirer, les yeux bandés, sur ses amis soldats.
Cela leur promettait un spectacle sanglant et jouissif...

Le champion ne put que céder sous peine de mourir, mais, lorsqu'il décocha ses flèches d'or, un miracle survint...
Les projectiles, comme guidés par une force suprême, dévièrent de leurs trajectoires pour aller se planter dans les poitrails noirs des Drows.
C'est ainsi que le grand champion décima toutes les unités ennemies et rétablit la paix.
Tous vénérèrent alors ses flèches qui avaient su rétablir la vérité et l'ordre des choses...

Cette histoire est aujourd'hui encore obscure, et nul ne sait s'il s'agit d'un mythe ou de faits réels..."

Arvendell dut relire plusieurs fois ce récit avant de réaliser l'importance de sa découverte. Une flèche révélatrice de vérité et capable de discerner la pureté des intentions de chacun... C'était un miracle que cette trouvaille!

Cela signifiait que le jeune homme allait enfin pouvoir accomplir ses rêves et devenir magicien à la cour du Roi...
Ses pouvoirs étaient bons, il avait étudié avec zèle et passé chaque année le concours des arts magiques de la cour. Malheureusement, il n'avait pourtant jamais eu aucune réponse et se voyait chaque fois contraint de prolonger son séjour dans ce lieu saint qui devenait une prison à ses yeux...
Sa chance était-elle venue cette fois-ci?

Le jeune homme quitta les lieux, serrant sa flèche précieusement dans sa poche. Il passa devant de nombreux frères et eut du mal à contenir sa joie.

Lui que la chance avait oublié, il venait d'acquérir un pouvoir hors du commun, un pouvoir incommensurable!
Mais son entrain ne trompa pas le dirigeant du monastère, et celui-ci appela le jeune homme à lui en le voyant si souriant. Les questions fusèrent et le vieil ermite prit vite un air inquisiteur. Le jeune orphelin tenait bon et restait dans le silence le plus total.
C'est alors que cela recommença...
La flèche lui échappa de nouveau, et ce sous les yeux écarquillés du Frère supérieur. Le trait d'or vint se planter avec puissance sur le bureau, transperçant un tas d'enveloppes cachetées et manquant d' ouvrir la main de l'ecclésiastique...

Arvendell découvrit peu après que cette pile de missive était en fait les réponses de tous ses concours... et toutes étaient positives...

Le jeune homme quitta enfin le monastère et devint le plus grand des mages du Roi. Devenu riche et puissant, il n'oublia cependant jamais ses racines ni sa condition d'orphelin.
Il fit bâtir le pensionnat de Gahl et il exigea que le ratissage des champs de flaminas soit une des activités des enfants qui y seraient élevés.
Sait-on jamais, peut être qu'un jour un autre orphelin trouvera dans les dents de son râteau, parmi les graines, une petite flèche dorée...

Voici la légende qui a bercé ma jeunesse et qui émerveille encore, en l'an II, les petits Namidas qui aspirent à la carrière de magicien.

La flèche, conservée dans la salle des reliques du monastère, sert depuis à désigner les Rois Namidas. Elle discerne en eux la beauté de leurs desseins, la sincérité de leurs propos et la profondeur de leur amour pour leur peuple.
Notre bon Roi Ghan d'Ilf fut ainsi "approuvé" par le trait du "juste doré", de même que le furent tous ses ancêtres et que le seront tous ses nobles descendants...

Ça c'est du RP ! bon français, bon orthographe...très agréable à lire.
j'adore !

Tres belle ecriture Livedell !
J'ai juste une petite remarque : je ne crois pas qu'il y est de moines dans un couvent, ils sont dans dans un monastere ( je ne suis pas sur, a verifier )

Si si, t'as raison. Un couvent c'est pour les filles.

J'oubliais.^^" Bravo ma chère sempaï.^^ Super RP.

Moi c'est archi pourri

Tout simplement magnifique !!

J'adore c'est vraiment très bien

Bravo Livedell

bon je peux aller me coucher alors

bravo livedell

L’un des artefacts les plus important dans la culture namida est la Flèche d’or au même titre que le sceptre royal et le blason namida. Une rapide description de la flèche est suivie par son histoire qui permet ainsi d’avoir une vue d’ensemble sur cette flèche est en or.

Pourquoi ce matériau ? Les raisons en sont simples. Tout d’abord, l’or est un matériau noble dont la pureté est insaisissable comme le but des Namidas, la Perfection. Ensuite, l’or est un parfait vecteur des particules magiques. De plus le pouvoir de cette couleur est hautement symbolique. On utilise cette couleur dans des rituels de sagesse, de protection spirituelle et pour les connaissances de la science divine.

Sur cette petite flèche d’or, sont inscrits des kaji qui sont en fait une invocation à Sorad de ce fait, il n’est pas besoin de la dire. Et par conséquent, seuls les mages puissants peuvent l’utiliser. Son nom n’est pas anodin non plus : Makoto qui signifie « sincérité » et par extension « Vérité. » Son nom est bien sûr lié à son histoire (cf. plus bas). Quand on lui impulse un mouvement rotatif, elle va capter les flux émanant de l’aura de chacun. Or, l’aura est influencée elle-même par notre mental et quand on cache quelque chose, cela se répercute sur l’aura.
La taille de cet artefact est à noter. Une petite flèche. Elle joue en effet, un rôle de catalyseur, de prisme. Elle concentre l’énergie qu’elle capte quand on la fait tourner pour la restituer et continuer de tourner par sa volonté propre s’arrêtant devant celui qui a un secret.


Son histoire est liée aux deux lunes et à l’influence qu’elles eurent sur le peuple des Elfes.

La division de la race elfique débuta avec le cadeau qu’Iridus fit aux elfes. En fait, ce ne fut qu’un révélateur de ce qui se passait au sein de ce peuple. Les elfes qui allaient suivre Fibus voulaient ne célébrer que Sorad. Pour eux, seuls les elfes méritaient le cadeau de Sorad. Ils développèrent une branche nouvelle de la Magie, la magie noire arme très dangereuse. Ces « elfes de Fibus » attaquèrent ceux qui n’étaient les créatures de Sorad.

Sorad s’en rendit compte. Alors, il décida qu’il fallait qu’il intervienne. Le dieu demanda à Gorhann d’extraire sous l’Yddragrasild le minéral doré une nuit où seul Linua illuminait son feuillage. Ayant de l’or, Sorad demanda à Hécate d’inspiré le secret des secrets c’est à dire comment reconnaître quand quelque porte un secret. Après tout, n’avait-elle pas le secret de l’immortalité. Puis avec cette roche informe, Iridus lui inspira ce qu’il avait offert aux elfes : loyauté et compassion. Enfin, Sorad utilisa son pouvoir ce le morceau de roche. Pendant, sept jours et sept nuits il forma la flèche lui influant la notion de la droiture de l’âme. Il fit tout d’abord fondre l’or dans un moule renforcent ainsi la droiture de l’âme d’Iridus. Le fait de l’avoir fondu révélait le tempérament d’Hécate. Forger cette arme permis de consolider l’œuvre de Gorhann. Ainsi la prédominance de Sorad sur cette œuvre était scellée. Quand il eut finit, il alla voir son fils qui était dans le palais de Galh Drasyl. Ghan d’Ilf était seul dans la pièce. Le Premier elfe réfléchissait sur les problèmes qui parcouraient son peuple.

« Mon fils, je viens t’aider.
- Père. Je suis heureux de vous voir. Mon peuple se disperse, je le sens bien qu’en apparence tout semble calme. Certains ne suivent plus le Shokusen.
- Je le sais. Prend ceci. Convoque ton peuple en ce palais. Fais tournoyer cette flèche, elle te dira ceux qui te cachent des choses, qui ne suivent pas la voie du Shokusen. Car elle a été inspirée par le Secret d’Hécate, de bonté par Iridus, extraite par Gorhann et forgé par ma puissante Magie. Aucun secret ne sera épargné. Faits-y attention, il s’agit d’un puissant artefact qui peut se révéler à double tranchant. Les conséquences peuvent être très importantes. Cette réunion sera déterminante dans le futur de ce peuple elfique. »

Sur ces mots, le dieu repartit aussi vite qu’il était arrivé. Ce fut la dernière fois qu’il intervint ainsi. Le roi fit alors comme Sorad lui avait dit. Le lendemain, la salle du trône était remplie de monde, de bruit. Le roi pénétra dans la salle et silence régna. Il fit un discours dans ces termes :

« Peuple elfique, L’heure est grave. Notre peuple se divise. Vous semblez surpris, je suis sûr que vous l’avez senti comme moi. Certains d’entre nous ne suivent plus la Voie sacrée qu’il nous incombe de suivre. Si nous ne faisons rien, ce schisme sera irréversible. »

Il laissa les elfes réfléchir dessus. Les phrases courtes étaient percutantes. L’idée de danger était passé.

« Déjà, ceux qui ne suivent plus la Voie divine ont développé une Magie qui ne sert ni à guérir, mais à protéger la Nature. Noble cause, je le conçois mais seul le but est louable, les manières sont trop violentes. Cette magie sert à détruire. Ils ne font plus preuve de cette compassion qu’Iridus nous a insufflée dans le cœur. Hécate règnent dans le cœur à sa place. Oui vous avez bien entendu. Notre dieu m’a apporté, à moi le plus pur d’entre nous, un objet pour que nous fassions la lumière dessus. Voici, Makoto, flèche d’or forgée par Sorad lui-même. Elle fouillera dans votre cœur et trouvera ceux qui cachent quelque chose. Si quelqu’un veut parler qu’il parle maintenant. »

La foule regardait à droite et à gauche dans en son sein. Quelqu’un allait-il prendre la parole ? Finalement, un elfe fit un pas en avant encapuchonné d’une noire cape dont on ne distinguait pas son visage. Il prit la parole comme ceci :

« Ghan d’Ilf vous n’êtes pas si aveugle que cela. Pour ceux qui ne me connaissent pas je suis Wawash. Vous voulez pardonner à ceux qui détruisent les forêts de Sorad. De la compassion, laissez-moi rire ! Nous sommes un peuple supérieur. Vous qui en a été le premier vous le savez. Ecoutez les murmures de Fibus. Il faut protéger la Création de Sorad contre ces minables. Vous voyez, je n’ai rien à vous cacher alors vous pouvez utiliser cette flèche. »

Ces paroles étaient certes aussi violente. Dans certains cœurs, elle trouvèrent un écho. Les conséquences de cette réunion furent dramatiques : une guerre civile commença entre les elfes partisans de Fibus et ceux de Linua. Face à la dislocation de son peuple, Ghan d’Ilf avait besoin d’être sûr d’accorder sa confiance à des gens sûr. Car certains ne le voulaient comme souverains, ils avaient par conséquent tenté de l’assassiner.

Lors d’une réunion de daimyos, le roi sorti de son obi la flèche et la posa. Elle tournoya et montra un membre de cette élite. Le Roi compris qu’il s’agissait d’un espion. Ce dernier tenta d’agresser le roi. Mais ce fut vain, car il eut à peine la main sur la poignée de son katana q’un souffle de feuille l’entoura et le propulsa en dehors de la pièce à travers la fenêtre, atterrissant dans la cours plus bas. Ghan d’Ilf sauta à la suite. La réception sur le sol ne lui fit aucun mal. Il regarda son daimyo et dit :

« Vous m’avez déçu. L’acte que vous avez essayé de faire est impardonnable. Vous êtes dorénavant déchu. Votre présence à Galh Drasyl n’est plus la bienvenue. Partez et que je ne vous revois plus. Ce n’est pas de la clémence. Je temporise juste pour cet instant. Sachez que nous n’en resterons pas là. Vous et les vôtres seront persécutés. »

Ce qui servait leur roi décidèrent donc de le protéger mais aussi protéger leur peuple de cette branche infectée par Fibus. Ainsi commença la guerre civile au sein du peuple issu de l’Yddrasgrasild.

La nuit, quand tous dormaient, le seigneur Ghan d’Ilf passait dans les rues avec Makoto. Il pouvait ainsi voir qui méritait sa confiance ou pas. Il n’oubliait pas que cela concernait toutes les personnes ayant un secret et pas seulement les elfes suivant Fibus.

L’utilisation de cet artefact puissant n’est pas anodine. Elle révèle très souvent une situation de crise comme on a pu le voir à travers l’exemple de cette première utilisation. Le souverain de la branche que l’on appelle désormais garde cette relique sur lui en souvenir de la dernière intervention Ainsi, il peut aussi se souvenir de la division des elfes, de ce schisme. Mais c’est bien que cela. On peut considérer cette flèche comme un organe de son corps, un nouvel appendice, dans ce sens où cet artefact est un organe qui a pour but la vérité car le Roi des Namidas fait constamment cette recherche de la Vérité. Le flèche l’aiderait donc à trouver la Vérité comme le cœur l’aiderait à faire circuler le sang en lui. Le peuple namida respecte énormément cet objet divin. La flèche perce tous les secret même les plus enfouis personne n’est à l’abri de sa puissance. L’or éclaire les ténèbres du caché.

hrp: /me préfère celui de ma sempaï

Pour les puristes, j'ai corrigé l'histoire des prêtres et du couvent, vous aviez raison...

Sinon ba... merci à tous