Errance entre les bibliothèques et tableaux (ouvert à tous)

La jeune femme arpentait la bibliothèque ; Elle avait déjà lu nombres d'ouvrages et commençait à se lasser . Elle regardait les peintures et , du balcon , le jardin en contrebas dans lequel on pouvait lire en paix . Elle opta finalement pour descendre , ressortit quelques instants pour revenir avec un petit chevalet et une toile , quelques pinceaux et s'installa au bord de la fontaine . Le matin pointait à peine et à cette heure ci , personne encore ne venait lire , ainsi , elle sortit ses fusains et mit la toile sur le chevalet de bois ; Son matériel était de bonne qualité et elle s'y connaissait en matière artistisque . Elle regarda les feuilles et l'herbe , les fleurs , le tout brillant sous le soleil , les gouttelettes de rosée renvoyant ses rayons lumineux ; Qu'allait-elle peindre aujourd'hui ? Elle opta pour imaginer un paysage , ses habitants . . . Un pays de paix . L'idée la fit sourire et , de sa main fine et experte , elle prit un pinceau assez large et commença ses mélanges de couleurs . . . Celle qui primerait serait les dégradés de bleus ; Elle commença par peindre la toile entière de la même couleur , elle travaillait toujours ainsi , par couches légères . . .

Ghan d'ilf avait rejoins Earwen, sans qu'elle s'en rende compte, dans cette salle dédié aux arts subtil de l'estampe namidas. Pour lui l'art était un des pas nécéssaire pour s'approcher de Soard. Il falllait apprendre ce qui était beau, et trouver dans ce qui parraissait laid, l'hamonie qui éxiste en toutes choses.
La salle était un étonnant mélange, ponctué de tableaux aussi sublime que varié et à la fois ponctué de nombresue d'ouverture vers l'extérieurs qui ressemblait a des tableaux vivant, plein de couleurs et de vies....Se reposer dans cette salle était une évidence.
Ghan d'ilf n'était pas un grand peintre, il le savait, mais le talent de Dame Earwen le fascinait. Elle était son enfant, mais avait tellement a lui apprendre.
De chaque trait reposait une curieuse harmonie, de chaque touche de bleue flamina ressortait de sa toile toute la fierté des namiadas.
Ghan d'ilf s'approcha a pas de velours pour ne point troubler sa kohai.
Sans un bruit, il posa sa main sur son épaule et lui murmura à l'oreille
"Quel est donc cette oeuvre d'art ma belle Earwen?"

Eärwen ne sursauta pas réellement lorsque le roi posa sa main sur son épaule , mais elle cessa de peindre . Elle n'osa se retourner et répondit , humble

Bonjour , majesté . . . Ce n'est nullement une oeuvre d'art que je fais là , j'essaye de peindre le monde dont je rêve , car , sachant que les Terres Divines ne le seront jamais , j'en fais une sorte de substitut , comme lorsque j'écris ou monte à cheval , j'oublie la guerre et ne pense plus qu'à ce que je fais .

Elle passa ses mains sur sa robe , ne sachant comment réagir face à Ghan d'Ilf ; L'épisode de la taverne était encore en sa mémoire et depuis , le roi et elle ne s'était point revus pour mettre les choses au clair .

Majesté . . . Je vais vous laisser et rentrer ; Je pense que si votre épouse ou quelqu'un arrivait et nous voyait ensembles . . . Cela pourrait être . . . Interprêté .

Elle se leva et commença à refermer son chevalet .

Si vous souhaitez venir en ma demeure , vous savez que sa porte est toujours ouverte . . .

Et elle commença à prendre ses affaires pour partir , trop pressée pour ne rien avoir à cacher . Elle se sentait mal et déjà , les larmes se pressaient au bord de ses yeux .

Je suis désolé pour ce que vous avez subit dans la taverne...je pensai que ma femme était partie a l'aventure....J'avias trop bu.

Ghan d'ilf avait sa main posée sur l'épaule d'Earwen, celle ci feignait d'ignorer la main qui la retenait aussi prés de son souverain.
Cette idylle était interdite...mais interdite par quoi? par la morale, par les ancestrales lois elfiques.

Mon coeur souffre de vous voir vous éloignez, mon ames pleure de devoir rendre aveugle le monde de ma brulante passion, mes yeux comtemple la peine, mes mains tremble sur votre épaule...ce simple contact m'emplie de cette peur que l'on ressent au premier baiser

Le bruit sourd d'une porte lointaine imterrompit ce tête à tête.
Ghan d'ilf recula d'un metre mais ne put lacher la main de l'elfe, son regard plongé dans le sien, l'étreinte deux regard dura plusieurs minutes, peut-etre quelques secondes, peut-etre même un siècle entier...aucun des deux ne le savait....
[/i]

Majesté . . .

Elle avait murmuré ce simple mot comme une supplique , comme si , de ce mot , dépendait sa mise à mort . Elle avait également entendu le bruit de porte et s'étonna que Ghan d'Ilf tint toujours sa main . Elle le regarda de ses yeux d'or , ne sachant comment elle devait réagir . . .

Vous n'avez pas à vous excuser . . . Je . . . J'ai été émue . . . J'aurais voulu . . . Vous . . .

Murmura-t-elle . Elle ne finit pas sa phrase , rougissant de honte et timide .

Ghan d'ilf se rendait bien compte que sa relation mettait en difficulté les penssées d'Earwen.
Il avait vu de ses yeux millénaires le prix de la trahison.
Le roi eu le souvenir de la première trahison de l'histoire des elfes, celle qui avait conduit a une nouvelles éré...l'éré de la fatalité.
Il se souvint quand son fils favori créa grace au savoir de gorhan..cette chose nomné "arme" et l'utilisa pour tuer....
Ghand 'ilf voyait toute la similitude entre ses deux situations..il eu une pensé pour Galia, qu'il aiamit sincérement...mais.....

Mon amour est dangereux...il n'apporte que le malheur

Il lacha la main d'earwen et lui affligea une gifle sans prévenir...presque sans raison...

Mon coeur est maudit je crois...fuyez le démon que vous croyez etre de l'amour...faite le pour votre peuple..pour vous ....pour moi!

Eärwen reçu la gifle sans comprendre ; Elle se laissa doucement glisser au sol , à genoux , et , regardant Ghan d'Ilf , elle demanda

Qu'ai-je fait ? Galia , à l'époque où j'étais prisonnière de Charaz , me giffla en me disant que vous vous repentiriez et lui reviendriez , me tenant pour responsable du fait que vous m'aimiez . . . Et aujourd'hui . . . Vous . . . ? Pourquoi ?

Des larmes coulèrent le long de ses joues , sans aucun bruit , elle ne sanglottait pas .

Je ne croie pas en la malédiction , sinon , pourquoi suis-je encore ici alors que j'aurais du devenir une Damnée ?! Qui aimez-vous ? Votre épouse ? Ou bien vous cachez-vous derrière celle-ci pour ne pas avoir à faire face à la réalité ?

Elle baissa la tête vers le sol , les bras le long de son corps .

N'est-ce pas ce roi indigne qui vous a jeté dansles griffes de charaz!
Les dieux sont moqueurs! Pour condamner mon ame au chagrin ils ont même tenter de vous comdamner en corrompant votre âme.

il releva earwen, l'air désolé mais l'esprit remplie de doutes

Vous n'y pouviez rien ! Vous ne pouviez savoir que Charaz tomberait amoureux de moi ! Et après tout , si vous n'aviez ordonné de l'attaquer , peut-être ne m'aurait-il pas épargnée , alors peut-être est-ce que vous êtes loin d'être indigne .

Eärwen se redressa à la demande gestuelle du roi et le regarda , les larmes continuant de couler sur ses joues .

Majesté , vous n'êtes en rien coupable de ce qui m'arriva , ni du fait qu'on faillit me Damner , ni de ce que Charaz eu en tête ce jour-là . Sorad lit les coeurs , il sait ce que contient le mien !

Elle avança vers Ghan d'Ilf et se serra timidement contre lui , le regardant

Je ne veux que savoir si vous aimez votre épouse ou . . .

Elle n'eut pas le courage de finir sa réponse . Elle était devenue fragile , et ce côté fragile la rendait de plus en plus charmante , bien que cela ne fut volontaire .

Sa fragilité ne laissait pas le roi insensible me le devait-il!
Il n'avait pas eu ce genre de face à face avec sa reine depuis bien des lunes....qu'attendait-il pour faire honneur a ce que dictait son coeur...s'il hésitait c'était peut-etre qu'une flamme dansait encore pour son épouse[/i]

Je suis las, je me dois de me rétirer! nous savons tous deux que mon coeur est enchainé a la voix de la raison...je ne puis faire comme si j'étais pauvre bougre...je suis le roi..et meme si pour moi Sorad fait naitre la plus puissant des charmes, celui de l'amour...je ne puis rien faire

Le roi se retourna vers la sortie, ilavait décider en son fort intérieur de passer plus de temps avec sa reine...il devait sauver son mariage ou se couvrir de honte....il fit un pas se retourna et pris Earwen dans ses bras pour l'embrasser tendrement....Baiser d'adieux ou déclaration d'amour...Earwen ne pouvait le savoir[/b]

Eärwen avait baissé la tête et se préparait à partir lorsque , de manière fort soudaine , il se retourna et l'embrassa ; Elle ne savait comment réagir et , peu à peu , se laissa aller . Mais , malheureusement , cet instant ne pouvait durer éternellement et le roi décolla ses lèvres de celles de la jeune femme . Elle le regarda , les yeux emplis de larmes .

Que voulait dire ce baiser , majesté ?

Demanda-t-elle , les larmes commençant à couler sur ses joues

Que dois-je croire ? Ce que vous dites ou ce que vous faites ? Vous êtes Roi , certes , et je ne vous demande rien . . . Mais comment pouvez-vous dire des paroles aussi dures alors que , dès qu'il le faut , je suis à vos côtés pour vous soutenir ? Que même inconsciente , je suis restée fidèle à notre peuple et à Sorad ? Et même . . . Même lorsque vous êtiez soul , me déclamant une déclaration des plus sincères . . . Et lorsque votre épouse me giffla , il y a longtemps , en me disant que vous vous repentiriez et reviendriez à elle , m'accusant de lui avoir volé votre coeur . . . Dans toutes ces épreuves , je suis restée à ma place , malgrès le fait que vous ayiez pris , sans le savoir , mon coeur , que vous l'ayiez transpercé de toutes parts en , chaque fois , rejetant ce que vous ressentiez . . . Sorad ne punit pas ceux qui ne peuvent rester fidèle à leur mariage , tant que la sincérité est de mise . De la même manière , il ne punit pas celui qui rejette les propositions d'autre . . . Mais avant d'être sincère avec moi , soyez-le avec vous . . .

Elle pleurait à présent , et se retourna , essuyant ses larmes , bien qu'elles continuent de couler , et ne bougea plus . . .

Cela faisait un moment que les deux amants discutaient ensemble, il en oublière le bruit qu'ils avaient entendu un peu avant. Quand soudain Didux fit son entré. La tete baissée, il s'avança et balbutia :

j'ai...j'ai...j'ai tout entendu....
Pardonnez moi mon roi mais cette relation est malsaine.
Dame Lymaer....pourquoi ? Pourquoi le roi ? Si cela se savait, la reine ne l'escusera pas une deuxième fois.
Mon roi cela rique de déclencher un conflit entre vous vos partisants la reine et les siens.

il y eu un moment de silence.

Mon roi ne éloigné vous de Dame Lymaer et oubliez la. Il en a de notre bien a tous.

Eärwen regarda celui qui venait d'apparaitre et l'écouta parler , contenant au fond d'elle ( du moins essaya-t-elle ) la tristesse et la rage que de telles paroles lui procuraient . . . Les larmes coulèrent et elle dit alors

Qui êtes-vous ? Ne croyez-vous pas que j'ai essayé de l'éloigner de moi pour assurer son bien ? J'ai reçu la giffle de la Reine , je n'ai rien dit . . . Je gardais en mon sein l'amour que je porte à notre Roi depuis mon emprisonnement , il y a de cela fort longtemps , dans la tour de Charaz , devrais-je vivre recluse et ignorée de tous pour oser aimer ?

Elle regarda Ghan d'Ilf , en larmes , les ondulations d'or dansaient sur son corps comme accompagnant ses pleurs

Majesté , je vous ai soutenu , lorsque vous étiez à Urpis dernièrement , je ne vous ai point insulté . . . J'ai tenté de vous aider , j'ai caché ce que je ressentais durant bien longtemps et aujourd'hui on me jette la pierre ? Cette reine que vous dites aimer , comment donc est-ce que vous l'aimez ? Et lequel est le plus pur ? Certes je l'ai caché , mais . . .

Elle hésita avant de finir

Le mien est autre que la manière dont on aime une douce bête ou une jolie fleur . . . Je vous aime pour l'Elfe que vous êtes , non pour votre couronne ! Je mourrais pour vous , je l'ai prouvé à maintes reprises !

Elle regarda Didux , les joues rougies par les larmes

Et vous me jugez sans rien connaître de moi ! Sorad m'a protégée de la Malédiction , serait-ce pour que mon propre peuple me rejette parce que j'Ose aimer ? Tuez-moi mais ne me demandez point de l'oublier . . .

Dit-elle finalement . . .

Didux regardait Eärwen avec une grande compassion. Comprenant par la meme qu'elle aimait vraiment cet elf qui était le roi. Didux finit par sortir de cet confusion dans laquelle il était plongé.

Je comprend ce que vous ressentez dame Lymaer.
Cependant pour votre bien et pour le notre a tous vous devez renoncer a cet amour insensé. Si comme vous le prétendez, vous aimez notre roi et ne voulez que sont bien, renoncez. Je vous en suplie renoncez a cette folie...

Paine arriva au beau milieu de la conversation. Didux critiquait ouvertement car celle-ci aimait le Roi. Paine arriva rouge de fureur et regarda les trois elfes avec des yeux noirs:

-Celà suffit! De quoi vous mélez-vous Didux! Le fait que le couple royal soit en danger vous regarde-t-il? Vous jugez Earwen Lymaer mais savez-vous seulement ce qu'elle a enduré pour rester des notres. Le défunt roi Charaz l'a voulu pour Reine. Elle refusa mais celui-ci la mordit contre son gré. Elle se battit pour rester une elfe, car elle est fidèle à son peuple, à son Roi et à l'elfe qu'il est. Elle essaie de vivre avec la douleur que l'amour lui fait endurer car elle est fidèle. Et que trouvez-vous à faire? La critiquer, toujours et encore. Les elfes sont-ils si terre à terre? Ce genre de réaction m'écoeure de la part d'un être soi-disant raffiné mais peut-être mon peuple est-il rustre et primitif?

Elle respira profondément et jeta un coup d'oeil amical à son amie.

-Ce n'est en rien votre problème et je ne vois pas quel mal celà fait au royaume. Je vous prie de les laisser se débrouiller avec leur problème de coeur. Et si la Reine a quoique ce soit à dire, elle viendra elle-même. Je ne pense pas qu'elle ai besoin d'un porte-parole, elle a autant de faculté oratoire que vous et moi. Mélez-vous de ce qui vous regarde.

Elle se retourna vers le Roi:

-Quand à vous, je vous conseille d'aller trouver la Reine avant que celle-ci ne vous trouve. Et puis je n'ai pas l'intention de retenir tout le peuple elfe pour vous protéger tous les trois.

Elle tourna les talons mais avant de sortir de la salle où elle était venue, à l'origine, pour contempler quelque peinture, elle se tourna à nouveau vers le Roi:

-Sire, j'ai à vous parler d'affaires urgentes. Venez me rejoindre quand vous aurez terminé. Je serais à la bibliothèque.

Elle sortit...

Many entrait dans la pièce, alors que Paine en sortait. Un jeune elfe avait fait allusion a un rafut et un haussement de voix dans les galeries d'arts.

Alors qu'i approcha son regard se posa sur son suzerain, Earwen, et Didux. Les éclats de voix ne lui parurent alors put injustifiés, ou du moins plus étrange. Many avait eu de longue conversation avec sa Reine, sa mère d'adoption. Il regarda d'un oeil noir Le roi et son "amante".

Many s'adressa rapidement a Didux:

"Le roi est tout puissant, et ton jugement ne l'atteind même pas. Tout ce que tu as pu entendre, voir comprendre, ou même dire, n'est surement pas faux, mais tu devrais les dispenser de t'a présence. Je t'assure que la reine saura gerer cela seul.

Si tu est d'accord, tu pourrait m'accompagner jusqu'au dojo, j'aimerais avoir une conversation avec toi.

Veut tu ?"

Avant de sortir il lanca un nouveau regard a son roi, assez clair quand au fait qu'il devrait rapidement regler cette affaire qui altérai l'image du peuple tout entier, et qui degradait l'entente entre les namida !!!

Ghan venait d'avoir la preuve qu'il fallait cesser ou faire évoluer cette amourette qui durait depuis des mois.
Ce n'était plus un secret poure quicqonque..c'était même l'un des sujets privilégié des cours des autres peuples pour se gosser des Namidas.
Un peuple si raffiné qu'ils ont inventé la polygamie clamait les nains depuis leur cité.
Ces amours déchirait jusqu'a son , ceci était intolérable pour le souverain qu'il était!
L'un de ses plus fidèle lieutenant l'avait fidélement déféndu contre ce jeune namida nomné didux....mais avait-il bien fait.
Tout roi qu'était ghan d'ilf, il semblait incapable de choisir.
Il était pourtant le guide de soin peuple, et choisir était son destin.
Il savait qu'il n'avait depuis ces deux derneirs mois été une pale copie du souverain qu'il était d'atans.
Il était même indigne de se comparé a un drow.
Il était un ivrogne qui se gavait de plaisir telle un épicurien, jouant de sa magie pour bruler des innocent a qui mieux mieux....un elfe plsu débauché que le serait yahadaneth dans ses momnents les plus vicieux.
Il fallait reprendre sa rang, il devait reprendre son peuple en main...
Il voyait que le sommet du peuple était plus dans la nuit que dans les foret de la nuit perpetuel des drows!
Ildevait de nouveau guider son peuple, lui raconter son incroyable histoire.

Le souverain se retira donc de la pièce en offrant a Dame EArwen une sublime révérance qu'il termina en déposant une fleur de flamina sur l'oreille de la belle elfes.
Il s'agissait d'un vieux symbole issu d'une antique légende...
C'était la première hisotire qu'il vait raconté a Earwen quand elle n'était encore que sa kohai..
Cet fleur est la preuve que vous aurez toujours une place spéciale dans mon coeur qu'elle que soit ce sera ma décision.
Et le roi se retira sans un bruit durant plusieurs jours dans la salle du trone.
Durant trois jours le roi se remémora ses longues discussions, pour lui il était inévitable que de son choix en résulte de violentes réactions, des guerres civiles meme.
Il demanda a dame Earwen de venir..
" Dame Earwen Cous ne pourrez etre reine vous le savez, car notre reine galia, ou plutot notre peuple ne puis se passer d'elle....il marqua une pause...tout comme je ne puis me passer de vous.
Toutefois, paine laisse un siége vaccant, et il me serait plaisant de rédiger l'ouvrage sacré, le shokusen avec vous. Me feriez vous cette honneur Consul Lymaer?"
Puis il se reourna vers galia, la reine,
"Mon épouse conseteriez vous a accepter la faiblesse devotre souverain envers cette femme, et a me voir, me regarder sans haine et me pardonner de ne point etre assez parfait pour vous mériter?"[/i]

Eärwen regarda le roi partir sans rien dire , lui mettant une fleur dans ses longs cheveux d'ébène et d'or . . . Elle se retira également jusqu'à la hutte qui lui servait de logis en pleine forêt . Au bout de trois jours , elle reçu une missive , le roi la demandait ; Elle monta à cheval et se dirigea vers Ghal Drazyl au galop . Elle entra et , agenouillée devant le couple royal dans sa robe blanche , elle écouta . . . Une larme coula au sol elle répondit alors

Majesté . . . Je ne suis point consul , pour cela , il faudrait que le peuple des Namidas m'aient élue . Quand à rédiger le Shokusen avec vous , je ne puis , bien évidemment , refuser .

Elle hésita un instant et ajouta , après que le roi ai posé sa question à Galia

Majesté , il n'est nul besoin de poser cette question à la Reine . . . Vous connaissez tous deux mon coeur et les peines qu'il à endurées . Je ne puis être placée entre vous deux . . . Les semis-solutions n'en sont pas , elles ne font qu'empirer les situations . Galia , même si elle dit le contraire , ne supportera pas de vous . . . Partager ; Et je ne saurais souffrir une relation cachée , adultérine , et polygame . Je n'aime point le Roi , celui que j'aime l'est , je n'y puis rien , je me moque d'être reine , mais je ne supporterais point votre . . . Fausse solution .

Toujours agenouillée , elle baissa encore plus la tête ; On vit dans le chignon qui ne retenait que mal ses longs cheveux , la fleur offerte par le roi quelques jours plus tôt . Elle semblait ne jamais vouloir se fâner tant qu'elle était près d'Eärwen ; Les ondulations d'or sur le corps de la jeune femme étaient d'ailleurs toujours présentes .

Puis-je me retirer , vos altesses ?

Le roi s'était enfermé quelques jours dans la salle du trône, et bien que j'entendu dire les rumeurs concernant un rendez vous dans la bibliothèque, je n'y fis pas attention: Il est vrai que le roi, comme moi d'ailleur, pouvait s'enfermer des jours entiers afin de trouver une solution. Cependant, cette fois ci, il n'allat pas ce coucher dans nos appartements comme à son habitude.

Plus tard, je vins à sa rencontre pour avoir une explication et celui-ci me dit d'attendre qu'une personne arrive.. Il avait besoin de nous parler, sérieusement.

J'avais mis cette fois-ci, une tenue moins connue de mon entourage; c'était une Longue jupe blanche au bords dorés, un corset de même couleurs. Un foulard des mêmes teintes recouvrait mon cou nu, accroché par ma broche fétiche. A la place d'un diadème composée d'une chaine couleur argentée garnit d'une petite émeraude, elle était d'or.

(Comme ça a peu près)

Je reconnue tout de suis la finne silouette aux cheveux d'or et d'ébène.

Ghan D'Ilf nous parla. Une triste larme coula à l'unisson sur les joues des deux elfes. Cette résolution que mon époux avait pris ne nous enchantée guerre.

Earwen prit la parole, et ce fut mon tour, d'une voie presque éteinte.

Mon tendre, il est en effet impossible d'elire à la va vite la duchesse. Il est évident qu'elle à toutes les qualités pour accomplir ce travail.
Mais c'est la voix du peuple qui doit la désigner, tels sont les lois que vous avez imposé.

Je continua, plus fébrilement encore :

Mais, j'accepte, avec grand chagrin, la situation que vous nous dictée. magrès tout, vous n'êtes qu'un elfe, et je vous pardonne ces erreurs. Cependant, je ne pardonnerai pas que celle-ci ( la situation) reste telle qu'elle est maintenant. Cela me fais trop souffrir !

Many entra discretement dans la salle du trone. Il était passé sans encombre devant les gardes elfes, premièrement parce que c'était un des plus gradé de la garde du roi, et qu'il inspirait maintenant un certain respect auprès de ses frêres namida, mais surtout parce qu'il était bien plus qu'un simple archer aux yeux de la reine et qu'il avait recu d'elle l'autorisation d'entrer a sa guise.

Il n'avait jamais abusé de se droit, mais les bruits courant très vite, et les elfes du palais ne lui refusant jamais un renseignement, il avait appris que Earwen avait été mandé par le roi dans la salle du trone.

Il resta quelques moments dans le fond de la salle, la reine et le roi l'ayant vu entrer.

Many avait saissi de nombreuses bribes de conversations avant de se decider a entrer, et le pourquoi de la situation ne lui échappait pas. Il pouvait comprendre certain sentiment d'Earwen, il avait plus ou moins vécu cela avec Livedell lors du mariage de Paine, mais il ne pouvait accepter que le roi n'y fasse rien, et ne mette un terme a cette histoire qui commencait a prendre une tournure plus que facheuse. Certains namida ne se retrouvant plus dans l'image de leur monarque decidaient de quitter Gahl drasyl, de simples inconnu comme des elfes importants.

Many se redressa de toute sa hauteur, et offrit au roi son plus beau regard réprobateur. Il n'avait rien a lui dire, il n'était pas placé pour faire une quelconque remarque, mais Ghan savait très bien que le lien qui unissait Many et la reine était tel que il lui faudrait soit un grand courage soit une grande folie car Many, loin de lever ne serait ce qu'un doit sur son suzerain, n'étant d'ailleur pas venu armé de quoi que ce soit, n'hesiterai pas a se retirer de son service, et a ne plus lui temoigner aucun respect ni confiance, s'il faisait du mal a Galia.

C'était a lui seul, le roi, de trouver la solution adéquate pour mettre un terme a cette mascarade, en pensant a ses propres sentiments comme a celui des autres, en faisant, semble t-il pour Many, abstraction, de la partie politique de la chose, lié au pouvoir et la la direction du peuple namida.

Didux était resté dans un silence profond car tout ceci le choquai et le faisait réfléchir.

(hrp : mon pc est en panne donc je serai la tres rarement.)

Ghan d'ilf savait que cette mascarade n'avait que trop durée.
Il avait pris sa décision.
Les elfes autour de lui n'approuvait plus cette histoire, et c'était compréhensible.
Galia était sa reine, et elle était aussi la grande pretresse du culte.
Si ghan d'ilf était le pére des namidas, Galia en était indubitablement la mère.
Ghan d'ilf se leva:

"J'ai pris ma décision"
Il se tourna vers galia, et mis un genou a terre.
"Ma reine veulliez me pardonner, je me suis égaré bien longtemps.
Moi ghan d'ilf, premier des namidas, roi des elfes nde Sorad, je vous jure amour et fidélité jusqu'a la fin de mes jours.

Il se tourna vers Earwen et s'inclina respectueusement.
"Duchesse, cette relation met notre peuple en péril, et mon peuple doit a jamais privilégié sur quoi que se soit!
Je me suis égaré de mon poste de monarque, et les namida en sont désorienté.
Désormais le couple royal est de nouveaux réunis pour guider avecfierté nos enfants.
Veuillez me pardonner, mais il fallait que je prennes cette décision, c'est la décision d'un roi qui aime son peuple."

Eärwen baissa la tête ; Elle avait redouté autant qu'espérer cet instant . . . Elle partit en courant , les larmes coulant sur ses joues .

(hrp : je ferais en soirée un post sur le forum de tds)

Je n'esperais plus.
Et quand il fit son serment, j'ai surpris mon coeur qui s'arreter de battre.

Avant que je ne puis dire quelque chose, Eawren Lymaer s'en alla, courant nue pied à travers la foret.

Je regarda droit dans les yeux de mon époux, afin de voir si'l y avait une once de doute. Il n'en n'eu pas.
Perdant alors mon port qui était déstiné à mon rang, je me blottis dans les bras de mon tendre, une douce larme sur ma joue m'accompagnant .

Il était fini, le temps des doutes du roi du peuple Namida !

Non content de cette décision, Didux ne pouvait s'empèché d'avoir de la peine pour Dame Eärwen LYMAER. Son ceur bien que était triste pour cette dame au ceur noble et qui n'a fait que subir un destin pitoyable jusqu'a aujourd'hui.

Il se tourna vers son roi :
Mon roi vous avez pris la une sage décision. Que Sorad soit avec vous.
il se tourna vers la reine et lui dit :
majesté... il s'inclina pour lui faire ses homages les plus cours et les plus simple que possible.
Didux sortit de la bibliothèque où étaient réunit les principaux acteurs de cette scène qui sortait de l'ordinaire.

» Bonjour tous